Février 2020 – tirez le meilleur parti de la nouvelle année…

04/02/2020

et planifiez efficacement vos projets de publication ! L’année ne fait peut-être que commencer, mais il n’est jamais trop tôt pour faire éclore vos projets de rédaction, de révision ou de traduction médicale. Notre équipe est là pour vous aider ! Chez Cremer Consulting SARL, nous savons pertinemment à quoi ressemble le quotidien des médecins. Rien ne peut remplacer un dur travail. Il est rare de réussir au premier essai. La plupart des personnes qui ont du succès restent concentrées et continuent à saisir des opportunités même lorsque le succès est déjà atteint. Passez courageusement à l’action, vous pouvez compter sur notre soutien !

Et un autre article accepté pour publication !

Et un autre article accepté pour publication !

Le mésothéliome pleural malin (MPM) est étroitement lié à l’exposition professionnelle à l’amiante. L’amiante ayant été largement utilisée dans les pays occidentaux après la deuxième guerre mondiale, l’incidence des mésothéliomes va continuer d’augmenter.

Même sous traitement trimodal par chimiothérapie, radiothérapie et chirurgie, le MPM est associé à un sombre pronostic. Le besoin de nouvelles modalités thérapeutiques est urgent. La lurbinectédine, un nouveau composé étroitement apparenté à la trabectédine, pourrait potentiellement répondre à ce besoin. Elle exerce une double action en se liant à des gènes régulateurs de l’ADN, induisant une cassure double-brin et réduisant les macrophages associés à la tumeur.

La présente étude de phase II visait à générer de données d’efficacité et de sécurité supplémentaires sur la lurbinectédine chez 42 patients atteints de MPM. Au moment de l’arrêt de la collecte des données, le critère d’évaluation primaire, soit la survie sans progression à 12 semaines (SSP S12) avait été atteint chez 22/42 patients (52,4 %; 90 % IC : 38,7-63, 5% ; P=0,015). La SSP médiane était de 4,1 mois et la survie globale médiane de 11,1 mois.

La toxicité était acceptable. Dans leurs conclusions, le Dr Yanis Metaxas et ses collègues, ont confirmé que la lurbinectédine exerçait une activité prometteuse, et ce indépendamment de l’histologie, de la précédente immunothérapie ou du résultat du précédent traitement.

John Nash souffrait-il réellement de schizophrénie ?

John Nash souffrait-il réellement de schizophrénie ?

Personne ne le sait vraiment mais cela pourrait bien être le cas. La schizophrénie est caractérisée par des délires, des hallucinations, une pensée désordonnée ainsi qu’un repli sur soi. L’étiologie de la maladie n’a pas encore été entièrement élucidée, mais il existe une prédisposition génétique sous-jacente

Actuellement, l’hypothèse biochimique privilégiée tourne autour d’un trouble du métabolisme de la dopamine. Le plus éminent génie à avoir été affecté par ce trouble était John Nash, un mathématicien et économiste lauréat du prix Nobel.

Jetons un œil à la biographie de John Nash ! Ses symptômes ont débuté vers 1959, alors qu’il été âgé de 30 ans. Cette survenue est légèrement plus tardive que ce qui est habituellement observé pour les symptômes schizophréniques. John Nash présentait incontestablement des délires ainsi que des hallucinations. En effet, il recouvrait les tableaux de l’université de Princeton de gribouillis indéchiffrables et errait souvent dans un état de confusion sur le campus.

Cependant, en 1994, son état s’est amélioré et il a même été en mesure de voyager jusqu’à Stockholm pour recevoir son prix Nobel. Quel que soit le trouble qui ait affecté le cerveau de John Nash pendant une décennie, il a semblé perdre son emprise sur lui à cette époque.

Comment écrire un excellent article scientifique

Comment écrire un excellent article scientifique

Durant l’hiver 2018, le biologiste théoricien Van Savage, qui était alors en congé sabbatique à l’Institut de Santa Fe, a conduit des discussions animées au sujet de la rédaction des articles scientifiques avec McCarthy, lauréat du prix Pulitzer. En tandem, ils ont travaillé de façon intense afin de condenser les conseils rédactionnels de McCarthy en quelques énoncés courts. Dans les lignes qui suivent, nous partageons la partie III de ces énoncés avec vous :

  1. Ajoutez des questions et utilisez une langue moins formelle afin de rompre un ton trop monotone et de maintenir une impression amicale.
  2. Utilisez une langue concrète et utilisez des exemples concrets. Si vous devez parler de couleurs arbitraires et d’une sphère abstraite, vous serez plus saisissant en parlant de cette sphère en tant que ballon rouge.
  3. Évitez de placer des équations au milieu de vos phrases. Les mathématiques n’équivalent pas à la langue anglaise et nous ne devrions pas prétendre le contraire. Vous pouvez utiliser des sauts de ligne pour séparer les équations du texte.
  4. Lorsque vous pensez avoir fini, lisez votre travail à voix haute, pour vous-même ou à un ami. Trouvez un bon réviseur en qui vous pouvez avoir confiance, et qui passera réellement du temps sur votre travail. Essayez de rendre la vie de vos amis-réviseurs aussi facile que possible. Numérotez les pages et utilisez un double interligne.
  5. Vous ne pouvez pas forcément satisfaire un lecteur anonyme, mais vous devriez être capable de vous satisfaire vous-même. Si vous rendez vos écrits plus vivants et faciles à lire, les lecteurs seront plus enclins à investir du temps pour lire votre article. Jeune scientifique ou romancier mondialement connu, c’est ce que nous voulons tous, non ?

Retrouvez la totalité des pensées de McCarthy sur https://www.nature.com/articles/d41586-019-02918-5

Les dernières années de van Gogh

Les dernières années de van Gogh

De plus en plus découragé quant à ses chances de rétablissement à Saint-Rémy, van Gogh a lui-même décidé de quitter l’asile en mai 1890. Appelé à se rapprocher de son frère Théo, il s’est dirigé vers le Nord et s’est finalement installé à Auvers-sur-Oise. Ici, van Gogh a donné vie à une production artistique incroyable.

Partie 2. À Auvers-sur-Oise, l’éminent peintre a commencé à voir le Dr Paul-Ferdinand Gachet, qui avait déjà traité Auguste Renoir et Camille Pissarro auparavant. Le Dr Gachet étant lui-même artiste et collectionneur d’art passionné, le frère de van Gogh, Théo, pensait que la nature hautement sensible du médecin permettrait à van Gogh de se rétablir de ses périodes de dépression et d’apitoiement sur soi-même. Comme on pouvait s’y attendre, une proximité et un attachement émotionnel se sont rapidement développés entre le médecin et son patient.

Inspiré par son nouvel environnement, van Gogh s’est lancé dans une nouvelle période de production intense et a réalisé plus de 70 œuvres d’art en 10 semaines de dur travail environ. Il convient de noter que ses réalisations tendaient de plus à plus à révéler un esprit troublé, van Gogh déversant son tourment intérieur dans ses fleurs et ses toiles.

L’anxiété générale et la précarité financière survenues après que Théo ait perdu son emploi chez les marchands d’art ont lourdement affecté la santé de son frère. Il lui est devenu de plus en plus difficile de se défaire de la morosité du futur.